Maintenant, je parle exclusivement de livres, films, musique et séries, je deviens Poppilita, sur culturotheque.com
Tu entres dans la danse
Billets à lire en musique
vendredi 15 juin 2012
mardi 20 mars 2012
lundi 6 février 2012
Un Google a la Truffaut
J'ai pas vraiment le temps et pour Truffaut, il faut le temps.
Mais je ne pouvais pas rater ca, j'archive entre les pages de ce blog le tres beau Doodle a l'occasion de l'anniversaire de Francois Truffaut qui aurait eu 80 ans.
Si vous voulez en savoir plus
Mais je ne pouvais pas rater ca, j'archive entre les pages de ce blog le tres beau Doodle a l'occasion de l'anniversaire de Francois Truffaut qui aurait eu 80 ans.
Si vous voulez en savoir plus
vendredi 27 janvier 2012
Le ronronnement du métro ou la très belle nouvelle de Louis-Samuel Berger
C'est un peu par hasard que je suis tombée sur le site du concours 24 heures d'écriture. Le principe pour les candidats sélectionnés, est d'écrire pendant 24 heures sans s'arrêter. Le concours a eu lieu en 2011 pour la deuxième fois et je trouve l'idée originale.
Bref, en vagabondant sur le site, ce n'est pas la nouvelle lauréate qui m'a interpellée - il y en a d'ailleurs deux - non, c'est le traitement pour le moins émouvant fait par Louis-Samuel Berger du trajet de la ligne 1 du métro parisien. Vous pouvez la lire en cliquant ici.
Vous y découvrirez un traitement original et très émouvant des pensées secrètes des voyageurs qui fourmillent dans le ronron quotidien du métro. Ou comme les pensées des uns rebondissent sur celles des autres sans qu'aucun d'eux ne se parlent pour autant. L'auteur nous offre un regard différent sur ces scènes 100 fois vécues en écho du rythme des ipods. C'est très beau.
Bref, en vagabondant sur le site, ce n'est pas la nouvelle lauréate qui m'a interpellée - il y en a d'ailleurs deux - non, c'est le traitement pour le moins émouvant fait par Louis-Samuel Berger du trajet de la ligne 1 du métro parisien. Vous pouvez la lire en cliquant ici.
Vous y découvrirez un traitement original et très émouvant des pensées secrètes des voyageurs qui fourmillent dans le ronron quotidien du métro. Ou comme les pensées des uns rebondissent sur celles des autres sans qu'aucun d'eux ne se parlent pour autant. L'auteur nous offre un regard différent sur ces scènes 100 fois vécues en écho du rythme des ipods. C'est très beau.
Libellés :
24 heures d'écriture,
écriture,
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Louis-Samuel Berger,
métro,
Regards
vendredi 20 janvier 2012
C’est si bon que tu sois rentré* : Gilad Shalit ouvre son profil Facebook
A la libération
de Gilad Shalit, retenu en otage plus de cinq ans par le Hamas dans un sous-sol de la
bande de Gaza, la presse israélienne a signé un accord en s’engageant à
respecter la vie privée du jeune homme et de sa famille. J’ai le souvenir ému
de ce jour d’octobre ou nous étions scotchés à nos écrans d’ordinateur pour
suivre en direct, la libération de ce jeune homme, devenu un peu moins jeune
avec les années.
Cette semaine,
Gilad a ouvert son profil Facebook. Comme un signe peut-être de retour à la vie
normale.
De l’obscurité
infernale, il nous est revenu dans la lumière d’hiver. Dans l’édition du grand
quotidien qui a suivi sa libération, un appel a été lancé à lui écrire des
lettres. Les plus belles ont été ensuite publiées. Et je me souviens bien l’émotion
qui m’a saisie en les lisant, une à une, comme de précieux trésors.
Il y avait
dans ces auteurs beaucoup de femmes qui expliquaient la souffrance qu’elles
avaient ressentie en imaginant la détention d’un de leurs fils, qui parlaient
de leurs proches disparus pendant la guerre, qui racontaient les prières sans
cesse renouvelées pour son retour. Une lui proposait aussi de le recevoir pour
un repas de Shabat. J’ai touché du doigt ce sentiment généralement partagé dans
le pays que Gilad était l’un des leurs. Chacun se l’était un peu approprié. Ou plutôt
chacun s’était un peu approprié la peine de ses parents de savoir leur fils
enfermé quelque part si près d’eux sans jamais savoir si l’issue serait la mort
ou la libération.
Alors aujourd’hui,Gilad n’est plus une cause. Il est un Israélien comme les autres. Et tout le
monde s’en réjouit. Moi, ça m’émeut même un peu.
*Titre de la
chanson de Arik Einstein "Kama tov shebata", écrite à la nouvelle de sa libération et diffusée
souvent pendant ces quelques jours où le pays était suspendu à l’idée de ce
miracle – et de ses conséquences sur la libération de terroristes.
Libellés :
Arik Einstein,
Facebook,
gilad shalit,
Moments de grâce
lundi 12 décembre 2011
Un Google littéraire : Madame Bovary à la fenêtre
Pour le 140ème anniversaire de Flaubert; nous avons le droit aujourd'hui à un Doodle littéraire.
Une bonne illustration pour commencer la semaine.
Pour en savoir plus...
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